Vendredi 29 avril 2011, jour du mariage du siècle, nous on joue au foot !
BOUAYE-SLIP: 3-1
Comme l'a dit Gigi dans les vestiaires après le match, le parcours du SLIP fait penser à celui de Lille cette année, notre rythme fait plus que ralentir depuis quelques matches, nos vieux corps sont usés et fatigués, à force de tirer sur la corde...
Merci donc à nos 2 guests, Greg et Mika,(pas le journaliste, l'autre) d'être venus compléter l'effectif famélique du soir.
Le SLIP s'incline donc 3 buts à 1, décidement un score maudit après le revers subi la semaine dernière en Champions League, avec un scénario quasi similaire.
Une fois n'est pas coutûme (je me ris dessus), on débute le match à 10, avec un P'tij libéro coupant des trajectoires en veux-tu en voilà sur les attaques adverses, un Gigi en meneur de jeu, Greg tout seul devant, et on arrive tout de même à se créer quelques situations intéressantes dans le 1er 1/4 d'heure, plein d'allant et d'en train.
Et soudain, c'est le drame.
Alors que tout le monde attendait avec impatience la rentrée d'Hyppo, qui s'échauffait depuis 20 minutes ("mais quess qui fout bordel, on joue à 10 !!!", j'ai mes sources), à peine celui-ci sur le carré vert, Boule, rassuré et mis en confiance par ce renfort de poids (par rapport à P'tij j'entends) tente LE geste technique du match. Un pressing de tous les instants des attaquants adverses entraîne Boule dans un dribble chaloupé dont il a le secret, puis une relance directe dans les pieds du 1er attaquant qui passe par là dans l'axe du terrain et le mec ajuste froidement Jéjé et son but vide des 20 mètres, ça fait 1-0.
Et puis 2-0 dans la foulée sur une action d'école de nos adversaires, c'est le score à la mi-temps, malgré encore quelques occasions de notre côté, via Gigi et ses frappes de mules côté droit ou Papi David et son pied gauche magique.
On entame mieux la 2° mi-temps, on joue un peu plus sur les côtés justement, les centres arrivent, et sur un enchaînement contrôle pied-main aux petit oignons de Nono, suivi d'un centre côté droit, Gigi se fend d'un double contact tibia droit-genou gauche dans la surface qui laisse le gardien pantois, avant de pousser la balle dans le but, du bien bel ouvrage, 100% maîtrisé, ça fait 2-1, on y croit les mecs !
P'tij se met alors à me tirer dessus de toute ses forces alors que j'étais tranquillement à regarder une action se dérouler dans la surface adverse, sans rien demander à personne, mais j'tai rien fait ! elle était même pas cadreé de toute façon.
On aura plusieurs chances de revenir à 2-2, avec Greg et sa frappe du gauche de pupille, ou alors un gardien en réussite qui repousse miraculeusement sur sa ligne, papi David qui n'avait pas envie de marquer non plus, bref le schéma classique, et on se fait prendre en contre dans la dernière minute, sur une montée rageuse du libéro local, qui mystifie un Jéjé impuissant, ça fait 3-1, et on a perdu, merde, putain ça fait chier.
Les jouors: Jéjé, Boule, Hyppo, P'tij, Mickaël, Yann, Junior, papi David, Nono, Gigi, Greg, ça fait 11.
Le butor: Gigi
Le passor: Nono
samedi 30 avril 2011
DEFAITE DU LOSC, EUH...DU SLIP
Publié par
Nono
à
09:42
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4 commentaires:
Et pendant ce temps là GOYAN jouait au nightclubber Ds les bars nantais.
Source: Paris Match
Il est temps que la trêve arrive...
10 au coup d'envoi (dont 2 guests) + moi après 10 minutes d'échauffement (et non pas 20...) ça fait pas besef!
Il reste encore 2 matchs à jouer, et c'est plutôt agréable de jouer par ce temps et sur des terrains de telle qualité!
Je sais pas si ça nous permettra d'être au moins 13 au coup d'envoi, mais ça serait souhaitable! D'autant qu'il faudra aussi arbitrer (champs + touche... même si la touche, on s'en passe depuis octobre...)
Bon WE sous le soleil, et à vendredi pour se refaire la cerise face à Chapelain (un peu d'honneur?)
Hyppo
Merci GOYAN
Je ne pouvais pas venir car je finissais le travail à Donges à 21 hres.
Ca doit surement etre sympa de jouer par ce temps au foot pour ceux qui en ont la chance.
Sinon, j'ai la possibilité d'obtenir une subvention de la boite pour le club moyennant un dossier bien ficelé.
Les journalistes de Paris Match qui jouaient au poker ce soir là, doivent avoir une vie bien morne pour colporter de vilaines calomnies...
Goyan
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